Aujourd’hui, demain, et tous les autres jours où vous ferez grève, j’irais travailler quand même.Vous ne me bloquerez pas, vous ne m’arrêterez pas, vous n’arrêterez pas l’activité de mon entreprise ou de la France.
Je vous comprends mais ne vous soutiens pas car j’estime que le dialogue ne s’obtient pas dans l’opposition systématique et violente, injuste pour l’usager et issue d’une vision du travail d’un autre temps.
Vous avez soi-disant fait grève pour obtenir la discussion, pas pour imposer vos exigences. Maintenant, vous avez obtenu la discussion point par point et vous continuez la grève pour imposer vos exigences. Pauvre de nous, misérables pions entre vos mains qui tiennent notre quotidien en otage.