J’avais déjà parlé de l’épidémie, pronostiquant une aggravation de la situation suite à la multiplication des comportements à risques.
C’est aujourd’hui un fait reconnu par l’autorité compétente, qui vient de livrer un rapport d’analyse affichant ce chiffre inquiétant : 748 000 foyers infectieux ont été hospitalisés ces cinq dernières années en France. En augmentation de 16 % par rapport au premier trimestre 2009, le nombre de cas a atteint un pic en mars avec 21 747 cas déclarés.
Cette dernière année, plus d’un cas sur quatre a été hospitalisé en phase terminale, là où les traitements sont les plus destructeurs. Aucun malade n’est décédé, mais les traumatismes personnels sont importants.
L’opinion publique pense à tort que les patients qui ont contracté la maladie ont multiplié les comportements facilement identifiables comme dangereux. En réalité, c’est la multiplication des petites infractions à l’hygiène qui a causé l’infection. 85 % des dossiers sont d’ailleurs liés à la présence d’un même agent pathogène.