C’est justement ceux qui « ne sont pas Charlie » qu’il faut repérer. Ceux qui dans certains établissements scolaires ont refusé la minute de silence. Ceux qui balancent sur les réseaux sociaux et ceux qui ne voient pas en quoi ce combat est le leur.
Ce sont eux que nous devons repérer, traiter, intégrer ou réintégrer dans la communauté nationale.
Nathalie Saint Cricq, Journal de France 2
Nathalie, je suis là, je vous attends. Mais je dois être parfaitement honnête avec vous : vos propos me font vraiment peur, et j’ai l’impression que les raisons pour lesquelles je pourrais rentrer dans l’une de ces petites cases sont infiniment plus humaines, honnêtes et porteuses d’espoir pour l’unité nationale que le message que vous avez fait passer à l’antenne.
Juste pour rappel : la liberté d’expression n’est rien sans la liberté de conscience.