Le grand fait une connerie. Il se prend un soufflet, pleure, se fâche, passe 10 minutes à bouder, s’excuse, promet de ne plus le refaire et on finit avec un câlin.
Dix minutes après, le petit fait exactement la même connerie…
— Mais c’est pas possible, vous vous êtes donné le mot !
— Copain [nom du grand] ! Câlin ?
— Ne me dis pas que tu fais comme ton frère parce que c’est ton copain et que maintenant tu veux directement le câlin ?
— Hinnnn (oui) ! »
Et là, je sais plus si je suis doublement fâché ou si je trouve ça trop mignon.