Bref, on est fréquent, et semble remplacer nous dans la plupart des cas de figure. Nous est-il en train de tomber en désuétude, entraînant dans sa chute les terminaisons de la première personne du pluriel ? Doit-on s’en inquiéter ou devons-nous nous en inquiéter ?
« le pronom « nous » est-il entré en zone omineuse ? », Langue Sauce Piquante, le Blog des correcteurs du Monde.fr
Derrière la disparition du « nous », il y a aussi la disparition d’une certaine responsabilité. On est indéfini, ce qui est bien pratique. On a fait une erreur est moins stigmatisant que nous nous sommes trompés.
Une collaboration saine impose une prise de responsabilité de chacun et du collectif. Nous prenons des décisions, nous rencontrons le succès ou les échecs, nous travaillons dans la collaboration, ensemble.
Le choix des mots est important.