Quoi, parce qu’un assassin a commis un crime, faut-il suspendre toutes les libertés du pays ?
Nous nous glorifions de nous opposer autant qu’il nous est en nous à une loi dangereuse dont on pourra se servir pour inquiéter les plus tranquilles et les plus probes des citoyens.
En voyant persister l’État d’Urgence depuis cinq mois (au lieu de douze jours, rappelons-le), il y en a un qui doit se retourner dans sa tombe…