Parfois, leur apprendre le français est une lutte sans fin…
— Bona santé Papa ! On cogne les verres ?
— Si tu veux, on trinque, mais ce n’est pas « bona santé » mais « bonne santé ». Il n’y a pas de « a ».
— Jamais ?
— Non, jamais. Regarde, par exemple quant on dit « bon appétit »
— « Bon appétit » ça commence par « bona » !
— Euh, oui, mauvais exemple. Mais dans « bonne journée », pas de « a » tu vois.
— Et dans « bon après-midi » ? Il y a « bona » aussi !
— …