Le petit pleure. Il a le genou ensanglanté, causée par une longue griffure. Je comprends immédiatement qu’il s’agit de Mozart, notre chaton, et m’apprête à le punir. Mon petit sèche immédiatement ses larmes.
Non, Papa, c’est pas sa faute. Il est gentil, le minou. Regarde, j’ai un autre genou. Il a rien, l’autre genou. Si j’ai un genou qui a rien, ça va !
J’étouffe un rire, le félicite de son courage et lui nettoie la plaie.
C’est quand même impressionnant, ta Nounou va croire que tu as fait la guerre !
En arrivant chez la Nounou, il s’empresse de lui expliquer.
Regade, je m’a fais une griffure de guerre, le minou !